lundi 25 juillet 2016

Helicops leopardinus


Bon, après on a vu des Saïmiris, c'était mieux.

Twelve Reasons why I...

On m'a dit il y a quelques semaines :

"Trouves toi tous les jours au moins dix raisons d'être ici. Et si tu les trouves pas, tu te repars d'où tu viens !"
(ce qui, soit dit en passant, met un peu la pression)


pause lecture, OMG

Oh my god,

Je dois partager ça !

Je viens de tomber sur une illustration de Joëlle Jones, une de mes auteurs de BD préférée, représentant les deux personnages de "Douze Raisons de l'aimer" (une de mes BD préférées depuis dix ans), en mode fan art sur la couverture de "Blankets" de Craig Thompson (un de mes auteurs préféré, et une autre de mes BD préférée)...décidément.

J'en fut toute retournée et presque émue.

* dessin de Joëlle Jones

Truc de dingue, non ? :)

Pour citer le commentaire de Jamie S. Rich, le scénariste de "Douze Raisons" :
"12 Reasons Why I Love Her/Blankets crossover
A commission drawn by Joëlle Jones. It was commissioned as a present for someone whose favorite comics were our 12 Reasons Why I Love Her and Craig Thompson's Blankets. The concept was our characters reading Craig's book, and Joëlle went wild with it, drawing the blanket and the tree from the comic, as well.

Since we know Craig, he also signed and doodled in a copy of the book for the recipient."

...bon, j'irai bien visiter ce sacré vivier d'auteur qu'à l'air d'être Portland, moi !


* Et maintenant les petits loups, on se rend dans la Médiathèque ou la librairie la plus proche, ou sur son ordi si vous habitez à Maripasoula ou si vous ne voulez pas vous bouger le popotin, pour choper et lire d'une façon où d'une autre ces deux très chouettes bouquins (et au passage, on en profite pour faire un crochet par la case "Habibi" de Craig Thompson) !

Bonne lecture ! 

vendredi 22 juillet 2016

jeudi 21 juillet 2016

Oiapoque




Si un jour on m'avait dit que je sortirai tout naturellement
"Ouais, on est allé au Brésil ce weekend, vite fait, mais...roh c'était chiant...",
d'une je ne vous aurais pas cru, et de deux, j'aurai dit "mais c'est quoi cette réflexion de petit bourgeois débile ?

...mais c'est vrai que les six heures de bagnoles sur la route de Saint Georges ont moyennement valut le détour...

...par contre les jus de fruits locaux non sucrés, avec la sucrière à côté qui m'a donné l'impression d'être dans le dessin animé "Merlin l'enchanteur", ça, c'était cool.

mardi 19 juillet 2016

Drink sangria in the park

Réveillées par la chanson de Lou Reed qui me faisait pleurer en 2013 et méditer sur la plage à 30 mètres et demi de ma chambre samedi...c'était cool.




* Sauf que je garde un chien en ce moment, que je me suis fait cramer au soleil et que la réalité devait plutôt ressembler à ça. :

lundi 18 juillet 2016

Quartier Rouge

Mouais, je me suis dit que je resterai bien dans le thème des deux derniers posts...

Rolalaaaa, mais c'est quoi cette fille qui parlent de sujets pareils ?!
C'est quand même un monde !

Et non, c'est pas une blague quand je dis que j'ai trouvé ça décevant.

"Décevant", au lieu de devoir dire, selon la pensée populaire et collective, comme tout un chacun, et surtout en temps que femme que c'est "navrant", "inhumain", "rabaissant", "extrèèèèèèmement choquant" et j'en passe, à dire que "c'est incroyable et dégueulasse de pouvoir venir faire son marché comme ça".

On va arrêter de jouer les faux prudes, les choqués, ou surtout les hypocrites.
Ca fait bien longtemps que l'Homme est devenu une marchandise au prix à débattre, dans les métiers de la sexualité, mais aussi plus largement, sur le marché de la consommation et de l'emploi.

Alors non, je ne vais pas faire semblant d'être choquée devant les vitrines du Quartier Rouge d'Amsterdam et taper un scandale avant même de me renseigner sur leurs conditions de travail, et à côté de ça me contenter de tourner la tête pour ne pas voir, quad je suis en France et que j'aperçois des prostituées alignées dehors en petites tenues sur le bord de la rocade dans la nuit en plein hiver en proie à n'importe quel cinglé.

Après, vous expliquez pourquoi j'ai été déçue, c'est une autre histoire.
Que je pourrais vous expliquer si vous le souhaitez.


Allez, je suis d'humeur ouverte au débat ces derniers jours.



Héééé, mec !


Y a des jours où je préférerai rester ignorante...

dimanche 17 juillet 2016

Elégance et finesse

Hé ouais, "élégance et finesse", vous avez vu comment on parle de moi en Picardie ? (*séance de narcissisme poussée et assumée, et surtout complétement sortie du contexte*)

Plus sérieusement, un bel article signé Daniel Muraz sur le troisième numéro de La Niche du DU, lui même géré et illustré par tous pleins de mes potes et de mes élèves-padawan, et ça c'est la classe ! :)


Le conte est bon (et picard) avec la Niche du Déhu

Après le projet de revue dessinée picarde, restons en un peu encore avec la production régionale. Et une réalisation déjà bien ancrée désormais : la revue annuelle des étudiants du diplôme universitaire de bande dessinée de l’UPJV. Avec des histoires courtes des jeunes auteurs et des illustrations de leurs (grands) formateurs.
La Niche du Déhu apporte la culture traditionnelle picarde sur un plateau...
La Niche du Déhu apporte la culture traditionnelle picarde sur un plateau…
La troisième édition est sortie, c’est aussi une tradition, pour les Rendez-vous de la bande dessinée, le week-end-dernier.
Après une « Hutte du Déhu » 2014 sur le thème de la guerre, puis un second numéro dédié au temps, en hommage à Marc-Antoine Mathieu, place cette fois – non sans une certaine logique – à la Niche du Déhu. Et cette « niche » d’auteurs là affirme sa couleur et sa nature picarde !
Dès la couverture, signée Yulenka, et représentant un Lafleur plutôt enjoué, le numéro accroche l’oeil. Réalisé cette fois en collaboration avec Edmond Baudoin, Damien Cuvillier, David François, Alex-Imé, Benjamin Lacombe et David Perimony, ce recueil de 44 pages fait donc la part belle à la région, ses contes et légendes (enfin, à la Picardie, même si un tampon facétieux précise une production « 100% Hauts de France »).
Si les récits se montrent donc assez homogènes et, forcément, guère surprenants, le travail graphiste est nettement plus varié. Même si certains trahissent un manque d’expérience certain. On retiendra le travail de Pauline Laurencon, qui illustre le conte de Jean des Tchots poés, du village de NeufMoulin, avec un trait moderne, tendant vers l’abstraction. Approche aussi très poétique et légère avec Viktoriia Arnaud et sa belle évocation picturale de Saint-Séverin déprimant dans les marais de la Somme et rêvant de couleurs claires et vives.  A l’inverse, Quentin Dutot propose une version effrayante de la « dame blanche » du château de Chantilly, avec un dessin expressionniste, au crayon et tout en nuances fantomatiques de gris.
Enfin, on saura gré à Castiel Garaud de nous expliquer pourquoi le vent tourne sans cesse autour de la cathédrale d’Amiens….
Au total, neuf histoires courtes font donc revivre ces instantanés de la culture ancestrale picarde.
Capture
Le Karimaro de Damien Cuvillier.
Mais le magazine (44 pages, papier cartonné) est également ponctué de superbes illustrations des « encadrants » de la formation. Edmond Baudoin y dessine une (belle) fille, issue d’une fable de La Fontaine. Damien Cuvillier fait revivre le « Karimaro » du Santerre, sorcier avec son biniou capable de commander aux brumes. Alex-Imé, capte avec élégance et finesse la beauté des marsulènes, ces ondines picardes vivant près des étangs.
Prenant le contrepied, David François restitue une Marie Groëtte, sorcière de l’Artois d’une laideur si impressionnante qu’elle paraît surgir de la feuille. Dans ce même registre, mais avec une touche plus délicate et éthérée, David Perimony donne vie à Ameké, l’esprit du feu. Et Benjamin Lacombe conclue l’exercice avec un joli petit renard très classe, lui aussi popularisé par le « Picard » La Fontaine.
A l’image du dessin de couverture, c’est en tout cas une belle manière d’amener une partie de la culture picarde sur un plateau…
L'ambiance très gothique des planches de
L’ambiance très gothique des planches de Quentin Dutot.

mercredi 13 juillet 2016

Parenthèse pénible mais visiblement nécessaire

Croyez moi, je me serai volontiers passée de ce post, mais j'ai besoin, pour moi, pour toutes mes compagnes d'infortune, et pour tous les mecs qui ne se reconnaîtrons pas dans ce que je vais décrire,  de faire un petit point rapide.



Je ne suis pas du genre féministe enragée tenant des discours à la "on est bien entre fille", ou "c'est dur d'être dans un milieu d'hommes", ou encore "les mecs, tous des salauds".
Pas du tout.

Je suis entourée principalement d'hommes depuis mes quinze ans; tout cela s'est fait naturellement.
La plupart de mes amis sont des hommes, mes collègues sont des hommes.
Même mon chat, Peter Minou est dans la catégorie des mecs, bien qu'il fut amputé d'une partie de lui-même à 6 mois.
Plus j'avance dans la vie et plus je cherche à être un être asexué (et pas asexualisé, nuance), dans le sens où je cherche à être au maximum une sorte d’entité neutre que son sexe n'influence pas ou peu.


Mais voilà, tout le monde dans notre société n'est pas prêt à accepter cette démarche, loin de là, et préfère interpréter la moindre marque de sympathie, le moindre sourire, le moindre geste comme un signe de provocation ou de séduction.

Même mes dessins sont interprétés.
Si je dessine une bonasse en lingerie érotique c'est parce que ça me fait marrer, ce n'est pas pour vous envoyer un message subliminal en mode "houlalaaaaaa, tu m'imagines là comme ça ?"
...enfin...soyons sérieux.
Je suis juste navrée d'en arriver là, d'en arriver à m'énerver toute seule sur ce post, à, par la force des choses, m'en prendre à la gente masculine avec laquelle j'aimerai simplement ne pas marquer de différences, et en arriver à raconter à mi-mots des anecdotes plus ou moins gênantes, plus ou moins sordides que j'ai subit, que ce soit dans le rue, dans les festivals bd, lors de mes ateliers bd ou autre.

Comme dirait ma coloc "Si je me promène chez moi avec un haut de maillot de bain, c'est parce que j'ai chaud, c'est pas pour te brancher".
Il est temps qu'on comprenne que ce que fait Autrui, il le fait souvent pour lui-même, et qu'on n'a pas à le prendre pour soit, que ce soit en bien ou en mal.
Alors s'il vous plait, s'il vous plait, arrêtez de tout prendre pour vous.
Arrêtez de prendre tout et n'importe quoi comme un signe, comme une perche tendue.

Si on veut vous pé-cho, on saura vous l'exprimer clairement, pas la peine de vous faire des films à la moindre occasion.


Messieurs. S'il vous plait, arrêtez d'amener de l'eau aux moulins des misandres.


Maintenant si quelqu'un a une solution, autre que celle de commencer à se montrer aimable comme une porte de prison pour éviter que les gens se fassent des films, je suis preneuse, avant de finir complètement misanthrope et de vivre en ermite dans mon atelier.

mardi 12 juillet 2016

Le temps d'apprendre à vivre


A ces heures de grands changements, de souvenirs qui remontent avec mélancolie, et d'auto-surprise, j'ai comme une envie, voir un besoin de copier délibérément le moi-après-moi de Camille (que décidément j'aime bien citer sur ce blog) et de poster un dessin qui commence à dater d'une période que je laisserai bien enfouie dans les méandres de mes pensées.

Lait frappé banane / comme un besoin de rester seule et au calme après un West-Trip / excès de chauvinisme picardisant / difficulté à assimiler le nombre gargantuesque d'informations reçues en quelques mois / alors que mes fantômes resurgissent / promenade au Suriname / écouter la BO de Death Proof  quand on a quatre heures de route à se faire en solo / solitude assumée / Hein, Djawid / un balcon avec vue sur la mer / quand on se surprend soi-même / le hamac c'est la vie / "C'est beau un être humain cabossé" ...mouais...vite fait alors / street portraits / deux belles rencontres autour d'un Scrabble / se trouver recueilli chez des gens qu'on connait depuis la veille au soir / discussion entre nouveaux expatriés / la misanthrope la plus friends-addict du monde / Am, Stram, Gram / feel like I am one with the universe à Roura / "je l'ai bien senti" / accepter le bonheur et la simplicité quand on y est pas habitué / apprendre à vivre en travaillant moins / une webcam gesticulée avec mon pilier / les dernières ondes de chocs du BLAST / "Y a tellement de gens bien, pourquoi tu t'emmerdes avec des gens qui n'en valent pas la peine ?" la phrase de Laurent Lefeubvre qui continu de me travailler et de changer ma vie / Minions, partout, partout, partout... / "...et t'arrives à dormir là nuit après ça ?" / t'as vu mes chaussures de pétasses ?! / errance / Faigo / mail de mon scénariste préféré. V.E.S. POWA / souvenirs émus et persistants de mes dernières soirées et rencontres amienoises / "on fume la baronne !" / SAMOURAI / Scar président / "quand j'étais petite, j'étais amoureuse de Didier-Manoir" / it's so strange to be alive / la magie du téléphone illimité / les fameuses pyramides Maya de Guyane / une discussion avec ma philosophe-psychanalyste préférée à s'envoyer des fleurs l'une à l'autre -mais putain ça fait du bien / "ah ben c'est la Guyane, hein" / Les photos de Peter / réflexion sur le level de mes relations d'amitiés et sur la magnificence de mes potes / Glace Coco et Rhum /  Mon petit ourson / Venez, on retourne chez Morisson / Envies de dessiner la Russie sous la neige et de vivre à Londres pile au bon moment / nostalgie des festivals BD / C'est mon pote Martin qui m'a appris à marcher vite / Fear-less / Qu'ils y restent / le soulagement des ponts qui se coupent / envie d'avoir froid / parler de celui qui a été mon presque-mari pendant presque dix ans / Une clope contre 2000 balles de travaux sur ma bagnole / merde, je me rend compte qu'il me plaisait bien le petit gars rencontré en Mai, en fait.../ tiraillée entre ce qu'il y a ici et vous là bas /  Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes qu'on avait habillé pour un autre destin. Toi aussi tu me manques.

lundi 4 juillet 2016

Breakfast

Yop, je n'aurai finalement pas le courage de mettre les articles de mon carnet de voyage sur les deux blogs.
Vous pourrez donc retrouver tous les dessins de ces deux dernières semaines sur le blog-carnet de voyage Maracudja.

Petit-déj sur le ponton au bord du fleuve Oyack avec Maud et Emilie, que j'ai rencontré avant hier au carbet de Roura.



Gaigo



Sandales

Sachez qu'en Guyane, il est de bon ton de porter des chaussures en plastiques.

Pourquoi ? Vous comprendrez tout seul quand vous vous serez retrouvé avec de l'eau jusqu'à mi-mollets huit fois dans la journée après une bonne drache.



Malheureusement, allez savoir pourquoi, nos chères tongs Havanas et Ipanemas sont introuvables en version "sandales fermées" en Guyane.
Et ça peut paraître très con, et faire remarque de midinette dis comme ça (...bon, ok, ce weekend là, j'ai carrément joué à la blonde midinette qui vient faire du shopping à Paramaribo. Mais ce n'est pas le sujet !), mais quand ça fera un mois et demi que vous ne marcherez qu'en tongs, qui se barrent à moitié dès que vous pressez le pas et vous font marcher comme un éclopé, et qui glissent comme des savonnettes dès qu'elles sont vaguement humides...vous comprendrez mes préoccupations hautement intellectuelles.

Et voilà pourquoi je sautais littéralement de joie en redécouvrant le plaisir de marcher vite et de courir quand j'ai trouvé des sandales en plastiques qui ferment dans un magasin de Parbo.


Parbo

Le contact étant très bien passé entre Rosana et moi, comme elle a vécu à Paramaribo (capitale du Suriname) jusqu'à ses dix ans elle me propose de jouer les guide, et nous décidons d'aller y passer le weekend.

Nous passons par Albina pour prendre un bus, qui aura tout naturellement changé son horaire de départ en passant de 10h30 à midi.
J'ai donc largement le temps de crayonné en attendant qu'on parte.


Les  bus sont extrêmement kitchs, c'est à ce demander si il y a des concours dans l'idée du jardin le plus fleuri version "le bus le plus peinturluré".
Ils sont petits mais tout un système de strapontins y est installer pour gagner un maximum de place.
Chaque trajet en bus devient un vrai jeu de Tétris !

 


Le soir Rosanna me présente un de ses ami d'enfance Surinamais et la famille de celui-ci.
Ils sont extrêmement aimables et nous essayons de communiquer en anglais comme on peut.
Rosa parle parfaitement Taki Taki (langue Bushinengue) et Néerlandais, ses langues maternelles, français, mais aussi anglais.
Elle passe d'une langue à l'autre avec une fluidité et une aisance déconcertante, tout en expliquant qu'elle commence à apprendre le chinois et le japonais.


dimanche 3 juillet 2016

Mangues et Kenepas


croquis animaliers

Recherches d'animaux guyanais d'après photos.

Coatis, agoutis, capybaras, iguanes et saïmiris.




Guess who's back ?

Olá mes petits loups !
A regarder mon dernier post sur mon blog-Carnet de voyage, Maracudja, mon dernier dessin posté à la date de réalisation date du...14 Juin !
Il va falloir remédier à ça !


Pour vous expliquer rapidement le contexte, le pourquoi du comment de cette absence, et tout simplement les prochains posts, je suis partie (à l'origine pour trois jours) dans l'Ouest Guyanais, où je suis finalement restée 13 jours (ce qui m'a parut durer beaucoup plus longtemps tant le séjour a été riche en découverte et en rencontre), privée d'internet et avec un accès compliqué à mon ordinateur.
Mais je n'ai pas arrêté de gribouiller pour autant, et j'ai donc beaucoup de posts à rattraper.

* comme vous pourrez le constater, j'ai pris beaucoup de notes à côté des dessins; je ne vais pas tout réécrire spontanément, mais si vous n'arrivez vraiment pas à déchiffrer ce que j'ai écrit et que vous voulez lire tout ça, n'hésitez pas à m'en faire part, j'essayerai de prendre le temps de tout réécrire en version "clavier d'ordinateur".

Je suis revenu dans les environs de Cayenne (au centre et pas à l'Est comme on me l'a fait remarquer, n'est-ce-pas) depuis trois jours, installée à Roura jusque jeudi dans le carbet le plus moderne et le plus confort du monde (et au bord du fleuve s'il vous plait !) dans des conditions plus propices pour mettre à jour mon blôg.

Sur ce...bon visionnage !