mardi 15 février 2022

à tout les gens qui parlent de gens dans des termes tels que : "Qu'importe le flacon, pourvu qu'il y ai l'ivresse".

 Hé béh nous voilà encore sur une note joyeuse... (promis, après j'apprendrai à raconter des trucs funs et légers...j'essayerai en tout cas.)


Il y a des moments dans la vie où tout se synchronise de façon surréaliste.


Et présentement je suis à deux doigts de commencer à croire au karma et au vent qui tourne alors que j'ai eu l'occasion de placer un "non." ferme et viril à cette personne à qui j'aurai dût le dire il y a bien-bien-bieeennnn longtemps.


Ce mot qui m'a donné l'impression d'entendre la chanson "Quand c'est non c'est non" de Jeanne Cherhal en fond sonore, comme si on était dans la BO de ma vie.


Quelle soulagement et quelle sensation fantastique d' "empowerment".


C'est l'occasion d'enfin rendre cet hommage à Stephen King-mon héros grâce à qui j'ai eu au moins trois fois des révélations marquantes, à la lecture de trois de ses livres, qui m'ont aidé à mieux affronter des moments de vie pénibles et de démêler un peu les neurones qui s'étaient noués dans ma tête comme des lianes aux branches (vous avez la réf ?).


Présentement on citera son livre "Jessie", et sa fameuse phrase (...paraphrasée parce que je n'ai pas retrouvé la citation exacte) : "un homme qui pense qu'une femme n'est que la combinaison de survie d'un con (* ici "con" signifiant "vagin") n'est pas fondamentalement quelqu'un de bien".


Ca peut paraitre simple et basique dis comme ça, mais parfois c'est bien de rappeler les choses quand on a l'esprit un peu embrumé par des personnes qui osent s'approprier les choses et encore plus les gens.


Un merci tout particulier à ma merveilleuse amie-panda Myriam qui aura marqué la première étape grâce à ses discussions et à son écoute (juste après cette lecture) dans le processus de résilience et de reprise de pouvoir. <3 


Et puis à toutes ces personnes inspirantes que j'ai entendu de loin en chansons ou en interview et qui redonnent force et espoir.


Et merci à ces gens qui doutent et qui savent mettre à l'aise, qui viennent poser la dernière pierre sur cette reconstruction.


Bisous les petits pachiras, vous êtes beaux, vous êtes forts, et moi je vous souhaite une vie belle et formidable.

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